Dragon Ball Z : Ultimate Battle 22

Dragon Ball Z : Ultimate Battle 22 (ドラゴンボールZ アルティメイトバトル22, Doragon Bōru Zetto Aruteimeito Batoru 22), est un jeu vidéo développé par TOSE Software Co. et édité par Bandai. Il s’agit d’un jeu de combat, qui est sorti courant 1995 au Japon et courant 1996 en Europe, sur la console Playstation de Sony.

Vue d’ensemble

L'écran titre du jeu
L’écran titre du jeu

Si le jeu est appelé « Ultimate Battle 22 » c’est parce qu’il propose 22 personnages au début. 5 autres personnages peuvent ensuite être débloqués. Après ça, l’écran du jeu indique « Ultimate Battle 27 ».

Ce jeu est connu pour utiliser de véritables dessins sur des cellulos réalisés par les animateurs de la série, en guise de sprites et ses cutscenes d’avant combat assez novatrices à l’époque (malheureusement ces cutscenes furent retirées des versions US et Européennes).

Lorsque Atari avait sorti Ultimate Battle 22 en Amérique du Nord, huit ans après la sortie japonaise, aucun doublage anglais n’avait été réalisé et les cutscenes d’avant-combat avaient été retirées.

Les personnages disposent de deux jauges différentes : Une jauge de santé et une autre de force. Les personnages disposent bien sûr d’un panel de coup de poings et de coups de pieds, ainsi que des attaques spéciales qui nécessitent d’actionner les touches directionnelles pour être lancées (chaque personnage a un « hypermove », réalisé avec différents combos).

La plupart des attaques spéciales des personnages sont basées sur leurs véritables attaques apparaissant dans l’oeuvre originale ou l’animé (exemple : le Kamehameha pour Son Gokū), mais elles demandent beaucoup de forces pour être utilisées plusieurs fois de suite. Les autres techniques spéciales sont des Kikōhas basiques et des attaques explosives.

Comme précédemment, avec la série des Super Butōden, Ultimate Battle 22 possède deux niveaux de gameplay : le combat au sol, et le combat aérien. En appuyant sur le triangle, le personnage du joueur peut léviter et s’envoler dans les airs. Si un autre personnage fait de même, la caméra donne alors une vue aérienne dynamique.

Cela n’a pas de grande incidence sur le gameplay, en dehors des variations d’angles de vue. En plus, si un personnage reçoit une attaque qui lui cause des dégâts en plein air, il recevra d’autres dégâts supplémentaires en tombant au sol (un peu comme dans les combats qui se déroulent dans l’animé).

La majorité des personnages ont des techniques de Kikōhas, d’attaques de mêlées, ou des techniques d’approche. La réalisation d’une attaque spéciale pompe beaucoup de forces. Comme dans les précédents jeux, ou comme dans la série, lorsque la jauge de force est complètement vide, le personnage tombe d’épuisement et ne peut plus exécuter aucune attaque, devenant ainsi, la cible de son adversaire.

Afin de restaurer cette force, il faut appuyer sur carré, croix et rond. Le personnage concentrera alors son Ki et dévoilera son aura. Le joueur peut également créer un grand bouclier d’énergie (ou champ de force, dans le cas des Humains Artificiels) pendant un cours instant, en appuyant sur les touches droite, bas, et gauche, puis en appuyant sur rond. En faisant cela, le personnage est à l’abri des attaques spéciales, mais il devient totalement vulnérable aux attaques de type mêlées.

 

Personnages

Personnages jouable

 

Personnages secret

 

Anecdotes

  • Comme dans Dragon Ball Z : Shin Butōden, ce jeu permet de rejouer avec la plupart des personnages présentés dans la série des Super Butōden. Les personnages manquants sont Freeza (100%), Dr. Gero, Cell première forme, Cell Jr., Zangya, Bōjack, Broly, et Son Gohan adulte (Super Saiyan 2).
  • La méthode pour débloquer les cinq personnages cachés est inscrite dans la notice du jeu. Pour les débloquer, il faut appuyer sur plusieurs boutons durant l’écran titre du jeu : Haut, Triangle, Bas, X, Gauche, L1, Droite et R1. Après avoir rentré ce code, un son retenti et les 5 personnages cachés apparaissent. Ensuite, l’écran titre se transforme, passant de « Ultimate Battle 22 » à « Ultimate Battle 27 » (dû à l’ajout de 5 personnages complémentaires).
  • Mr. Satan est le seul personnage du jeu à ne pas posséder de jauge de force, du fait qu’il n’utilise aucune attaques de Ki, et se contente d’utiliser des armes.
  • Mr. Satan et Kamé Sennin (Muten Rōshi) sont les deux seuls personnage à ne pas pouvoir voler dans ce jeu. Son Gokū enfant ne peut pas voler non plus, mais il utilise le Kinto-Un pour se mouvoir dans les airs. Par la suite, d’autres jeux vidéo comme Dragon Ball Z 2: Super Battle et la série des Budokai, permettront à Mr. Satan de pouvoir voler en l’équipant d’un jet pack.
  • Si deux Son Gokū enfant se battent l’un contre l’autre, celui qui perd le combat se transforme en Oolong après sa défaite, révélant qu’il s’agissait d’un imposteur.
  • Bien que Son Gokū soit considéré comme étant en Super Saiyan dans ce jeu, son sprite le représente en fait en Super Saiyan 2.
  • C’est le tout dernier jeu à inclure la voix de Kōhei Miyauchi, le seiyū originale de Kamé Sennin (Muten Rōshi), puisqu’il est décédé peux de temps avant la sortie du jeu au Japon (L’ending mentionne d’ailleurs son nom, en hommage à celui-ci). Notons quand même que Kamé Sennin (Muten Rōshi) peut aussi être entendu dans Dragon Ball Z : Shin Butōden.
  • En dépit du fait que ce jeu vidéo soit sorti aux États-Unis en plein pendant la diffusion de la série TV, les voix du jeu US sont les voix originales japonaises et non pas les voix américaines (ce jeu est le seul jeu sorti aux USA à être dans ce cas, puisque Dragon Ball GT : Final Bout et Dragon Ball Z : Super Butōden 2 (en bonus du jeu Dragon Ball Z : Extreme Butōden) possèdent des voix anglaises.
  • Gogeta est renommé Vegetto dans la version US du jeu, puisque le film Dragon Ball Z : Fusion Reborn n’était pas encore sorti sur le continent américain. Lorsqu’il fusionne pour former Gogeta, Vegeta apparaît sous sa forme de « prince de la destruction », à savoir la forme couramment baptisée « Majin », lorsqu’il est présenté dans le mode VS en version japonaise.

 

Vidéo

Tags
Voir davantage

Guillaume

Fan de la première heure qui a découvert la licence au Club Dorothée et qui n'a jamais lâché depuis ce jour, également grand amateur des jeux vidéo tiré de la licence.