Dragon Ball Z : Super Butōden 3

Dragon Ball Z : Super Butōden 3 (ドラゴンボールZ 超武闘伝3, Doragon Bōru Zetto Sūpā Butōden Surī), typographié Dragon Ball Z 3 : Ultime Menace en France, est un jeu vidéo développé par TOSE Software Co. et édité par Bandai. Il s’agit d’un jeu de combat, troisième jeu de la série Super Butōden qui est sorti le 29 septembre 1994 au Japon et courant 1994 en France et en Espagne, sur la console Super Famicom (Super NES) de Nintendo.
 

Vue d’ensemble

L'écran titre du jeu
L’écran titre du jeu
Le jeu est sorti 9 mois après le grand succès de Butoden 2. Il s’agit du premier jeu produit par Isaku Maniwa, il est sorti alors que Dragon Ball rencontrait de nouveau un énorme succès avec la dernière partie du manga. Bandai a donc surfé sur cette vague en proposant très vite une suite au dernier Super Butōden.
Cette fois ci, les personnages caractéristiques des anciennes sagas sont tous supprimés tel que Bōjack etc. Seul Trunks du futur est disponible via un code secret, quant à N°18 elle fait son grand retour.
Les graphismes sont sensiblement plus évolués, et le gameplay a été réajusté. Il est ainsi possible de se séparer des phases aux corps à corps à tout moment en volant. Les Kikōha ne peuvent plus être quant à eux envoyés en diagonale à l’exception des Kienzan.
Le jeu supprime les personnages issus des films tel que Broly. Le manga n’était pas assez avancé au moment de la sortie du jeu, ainsi les autres apparences de Majin Buu n’existaient pas encore. Les coups spéciaux des quelques personnages déjà existants ont changés. Ainsi le fameux enchainement de jambes de Son Gokū ne traverse plus une partie de l’écran comme sur Butoden 2 par exemple. Il est nettement plus délicat désormais de coincer un personnage à travers ce type d’enchainements.

 

Personnages

Personnages jouable

 

Personnages secret

 

Anecdotes

  • N°18 et Kaiōshin (Kaiōshin de l’Est) ne disposent pas de Meteor Smash.
  • Les mouvements des gros sprites, comme celui de Dābura, ont été les plus durs à mettre au point.
  • La presse française à salué le nouveau Dragon Ball, cependant les critiques furent réservées de la part de quelques testeurs, notamment Gréroire Hellot (Joypad) qui clamait que les nouveautés minimes et ne justifiaient pas le prix de la cartouche (650 Francs en import).
  • Player One, Console Plus et Joypad ont proposés des couvertures sur Dragon Ball Butōden 3, tant c’était un apport de ventes indéniable à l’époque. Plusieurs dossiers ont vu le jour pour présenter les nombreux coups spéciaux cachés (Meteor Smash). Le jeu fût très médiatisé, peut être beaucoup plus que Super Butōden 2, qui était quant à lui une surprise inespérée de la part des journalistes à cette époque.

 

Vidéo

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Guillaume

Fan de la première heure qui a découvert la licence au Club Dorothée et qui n'a jamais lâché depuis ce jour, également grand amateur des jeux vidéo tiré de la licence.